IV 07.01.2018
Je te regarde je te décrypte je te dévore
On est quitte
Des essaims bourdonnants qui m’assaillent
Une seule parole qui vaille
La peine que je répète en boucle, à l’heure,
Sans me presser
Une seule note que j’aime
Que tu sais composer, souvent, à demi, en douce,
endormie,
Vaillante et fière, j’espère souvent qu’elle va venir
ranimer
L’envie d’allonger paroles et regards qui
s’entortillent
Tu m’arrimes à la cheville de ta pensée
Tu es la seule qui parviennes à me faire aimer
L’orée des mots
Ce poème fait partie d'un de mes recueils lauréat du Concours de poésie Les Dénicheurs de la Maison de la Poésie d’Avignon en 2018
La valse Camille CLAUDEL
Magnifique
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